Élodie Clouvel

NUMERO 1 MONDIALE 2019/2020, NUMÉRO 2 MONDIALE 2022, 6 FOIS CHAMPIONNE DE FRANCE,
2 FOIS VICE-CHAMPIONNE DU MONDE, LE PALMARES D’ÉLODIE EST IMPRESSIONNANT, ELLE NOUS RACONTE SA VIE, SON SPORT, SON AMOUR POUR LES BASSINS ET SA PASSION POUR CHLORE.

« JE SUIS VICE CHAMPIONNE OLYMPIQUE et aujourd’hui mon rêve ultime est devant moi, être championne olympique au JO de Paris en août prochain en Pentathlon moderne. Une discipline que j’ai choisie assez tard, j’avais 19 ans, j’étais nageuse et je n’ai pas été qualifiée à Pékin. Et suite à un échec, je me suis engagée dans cette nouvelle discipline. Et c’est cela qui me définit, je suis quelqu’un qui ne lâche rien, qui se relève après l’épreuve. Le pentathlon moderne, c’était un vrai challenge pour moi, je n’avais jamais fait de tir, ni d’escrime et l’équitation était un mauvais souvenir. J’avais fait une chute et décidé de ne jamais recommencer. J’ai dit oui, je suis arrivée à l’Insep à Paris et là, j’ai beaucoup beaucoup travaillé pour apprendre, et trois ans et demi après, j’ai été qualifiée pour les JO de Londres en 2012.

J’étais tellement impressionnée que j’y suis allée en spectatrice de ma propre participation. à Rio, j’étais prête, j’avais consolidé ma confiance,
et depuis Londres, je suis vice-championne. J’ai appris en quittant ma famille très tôt pour partir en sport-études, cela a été difficile pour eux, pour moi, à me construire seule, à chercher la perfection, le détail...

« Je sais que chaque détail compte, comme Chlore, je suis très exigeante avec moi-même. »

ÉLODIE CLOUVEL.

...parfait, le geste juste. C’est là que je rejoins les valeurs de Chlore.
Je sais que chaque détail compte, comme Chlore, je suis très exigeante avec moi-même. Ce qui compte, ce n’est pas de battre les autres, mais le combat que j’ai avec moi-même.

J’ai découvert le travail d’Hélène, ses maillots, sur Insta, et je me suis dit wahou, cela correspond vraiment à ce que je cherche, la fluidité, le flow qui nécessite des efforts énormes qui restent invisibles, la ligne élégante
qui file, le gainage grâce à cette matière qui vous donne le sentiment de vous porter au-dessus de l’eau ; j’ai la chance d’en avoir toute une collection. Le blanc avec une fermeture éclair sur le devant, si pratique, est le premier que j’ai porté et je me souviens des regards admiratifs quand je suis arrivée au bord du bassin. Le blanc, quand je suis bronzée, c’est canon...

« Ce qui compte, ce n’est pas de battre les autres, mais le combat que j’ai avec moi-même. »

ÉLODIE CLOUVEL.

« Quand j’ai un entrainement
difficile, je porte un modèle avec un dos nageur.
 »

ÉLODIE CLOUVEL.

...Il m’offre à la fois une flottaison optimale, et aussi je me sens jolie, cela porte, me donne confiance. Quand j’ai un entrainement difficile, je porte un modèle avec un dos nageur, car je sais qu’avec sa coupe je n’aurais jamais mal aux trapèzes. Celui avec un dos ouvert qui me permet de ressentir la sensation de l’eau est très agréable. Les maillots Chlore m’accompagnent au quotidien, un modèle noir, avec un jean, c’est top.

Le sac qui me permet de contenir toute ma maison et les équipements des quatre autres disciplines, a une taille parfaite. Le peignoir pour ne pas avoir froid au bord du bassin l’hiver, pour vite se réchauffer en sortant de l’eau, m’est indispensable. En ce moment, je porte un maillot rouge, c’est la couleur de l’énergie, du renouvellement, du cœur, de la chance, elle me fait vibrer, c’est celle qui va me porter jusqu’à l’épreuve finale, le 13 août prochain à Versailles. »